« On peut confier 2 ou 3 missions à une seule personne, il réussira magistralement, de la même manière, on peut les confier à plusieurs personnes et le résultat ne sera pas au rendez-vous. Provisoirement, je pense être à la hauteur des attentes. Mon maintien ou non maintien à la tête de l’Université de Lomé relève d’une prérogative discrétionnaire du chef de l’Etat, il m’a confié une mission, je crois qu’à un moment donné il fera le bilan », s’est-il défendu.

Prof. Kokoroko est allé loin en étayant son argument par la parabole des talents dite par Jésus dans Mathieu 25 verset 14 à 30.  

Seulement, cet argument ne convainc pas Prof. Togoata Apédo-Amah. L’universitaire n’a pas hésité à recadrer son confrère. « Ce sont des propos qui illustrent la mentalité des cumulards. Parce qu’être au service d’une dictature, cela veut dire qu’il y a confiscation de l’argent. Parce que le cumul de poste cela donne des avantages d’indemnités voire de salaires. Donc c’est pour justifier l’inadmissible, c’est-à-dire l’exploitation d’un peuple, et faire croire qu’il n’y aurait que quelques gens talentueux pour diriger ce pays, alors qu’on voit le résultat. C’est le fiasco. Le pays est dans la misère. Ces gens se foutent de nous. Ce que Kokoroko ne dit pas, c’est qu’ils ont privatisé ce pays pour le profit d’une clique seulement », a indiqué Prof. Apédo-Amah

Selon ce professeur de Lettres, le Togo est un véritable cachot de désespoir où la misère est ambiante. Seule une minorité s’accapare des ressources du pays. « Malgré cela, ces gens s’auto-congratulent et croient qu’ils ont de talents. Mais quel sont leurs résultats ? Le pays est dans quel état ? Nous n’avons pas d’hôpitaux. Heureusement que cette pandémie qui fait rage dans le monde n’a pas la même virulence en Afrique, sinon nous saurions tous morts.  On n’a pas des hôpitaux adéquats. Donc ces déclarations ne traduisent que la mentalité des profiteurs. Il ne faut pas accorder d’importance à ces propos », a souligné Prof. Apédo-Amah.

Pour l’universitaire, la parabole de Jésus sur les talents est « ridicule ». « Parce que cette parabole parle de maître et de serviteurs. Un professeur d’université qui prend cette parabole ridicule comme référence, cela veut dire qu’il n’a rien compris », a-t-il conclu.

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Selon les informations relayées par le confrère « letabloidtogo.info », le procès en appel devrait incessamment démarrer. La Cour d’appel de Lomé a récemment saisi les avocats de la défense d’une requête leur demandant de déposer leur mémoire développant les reproches faits au jugement de Clément Gnon, le premier juge. Cette action lance donc le processus du procès en appel.

Après dépôt des documents par les avocats de la défense et l’observation d’une période de deux semaines, le Cour d’Appel devrait fixer la date d’ouverture du procès.

Le confrère Ferdinand Ayité se dit serein et décidé à aller jusqu’au bout pour la manifestation de la vérité dans cette affaire.

Le moins qu’on puisse dire c’est que l’affaire de détournement de 500 milliards de francs CFA en mode offshore sur les commandes pétrolières du Togo par les Adjakly est loin de connaître son épilogue. Le dossier reste fumant.

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Mgr Philippe Kpodzro, 90 ans, est de nouveau au centre d’une polémique. L’archevêque émérite de Lomé a publié, le 18 janvier 2021, une déclaration dans laquelle il demande à Mgr Barrigah, actuel archevêque de Lomé, de dire « la vérité » au sujet d’un « rôle de médiateur » dont l’aurait chargé le régime actuel.

À l’issue de la présidentielle du 22 février 2020 au Togo, le président en exercice Faure Gnassingbé a été déclaré réélu pour un quatrième mandat de cinq ans par la cour constitutionnelle, avec 70,78 % des voix contre 19,46 % pour l’opposant Gabriel Agbéyomé Kodjo. Celui-ci conteste ce résultat depuis près d’un an. Ce contentieux a débouché sur un feuilleton politique nourri de polémiques. C’est dans ce contexte qu’intervient cette déclaration de Mgr Philippe Kpodzro qui avait soutenu la candidature de Gabriel Agbéyomé Kodjo.

« Proclamer courageusement la vérité pour la délivrance de la nation »

« Mon cher fils Mgr Nicodème Barrigah, tout le peuple togolais se tourne vers toi, écrit Mgr Kpodzro. Il attend que tu proclames en ton Dieu le Créateur la vérité qui libère en vue de l’alternance tant attendue au Togo en ta qualité de Pasteur du troupeau de Jésus-Christ ».

L’archevêque émérite appelle l’ordinaire du diocèse de Lomé à « proclamer courageusement la vérité pour la délivrance de la nation togolaise qui n’a que trop souffert ». Dans cette même déclaration, il a interpellé deux membres du clergé togolais : le père Pierre Marie Chanel Affognon, directeur national de l’enseignement catholique et aumônier national des cadres catholiques du Togo, et le père Gustave Sanvee, secrétaire général du Conseil épiscopal justice et paix.

Des avis divergents

Dans son message de vœux le 28 décembre, Agbéyomé Kodjo interpellait déjà Mgr Barrigah sur le même sujet : une rencontre avortée dans le cadre d’une médiation de sortie de la crise post-électorale. Ces deux déclarations suscitent divers commentaires sur les réseaux sociaux. Certains approuvent la démarche de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) qui revendique la victoire du scrutin de 2020 et critiquent l’archevêque de Lomé. Tandis que d’autres, déplorent les propos venant de l’archevêque émérite et de son entourage. « Les membres de la DMK qui créent et alimentent ces polémiques sont en train de détruire le dernier rempart de la lutte pour l’alternance », affirme un acteur de la société civile.

Le 2 janvier dans une adresse aux enseignants et aux cadres catholiques du Togo, le père Affognon, également interpellé par Mgr Kpodzro, a expliqué, après investigations, qu’il s’agit d’un grossier montage, parce que Mgr Barrigah n’a été approché à aucun moment par le président en exercice pour proposer un marché au candidat Kodjo. « Moi je reste serein, libre et me sens profondément dans la droite ligne de ma mission d’enseigner le peuple de Dieu », confie encore le père Affognon.

« L’archevêque émérite est pris en otage par des personnes dont l’intention est de persécuter l’Église, la diviser et la détruire à travers des rumeurs et des montages », dénonce un fidèle catholique. « Mais à un certain âge, ajoute-t-il, une personnalité comme Mgr Kpodzro doit être entouré de bons conseillers. »

Lors des échanges de vœux du diocèse de Lomé, le 11 janvier, et suite à une question relative à la crise sociopolitique, Mgr Barrigah avait déclaré ceci : « Lorsqu’on est dans une crise, la tendance, c’est de la transformer rapidement en conflit en cherchant des boucs émissaires, en s’accusant ». Il a précisé avoir « choisi plutôt de ne pas intervenir à tort et à travers », préférant une attitude calme.

Source: Charles Ayetan/La Croix Afrique

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C’est depuis son compte Twitter que l’opposant contraint à l’exil adresse ces mots à ses militants et sympathisants. A en croire le président national du Mouvement Patriotique pour la Démocratie et le Développement (MPDD), bientôt une tempête de libération nationale s’abattra sur le régime de Faure Gnassingbé.

« Le vent de l’alternance, de la liberté, de la justice et de la prospérité partagée qui s’est levé le 22 02 2020 sur le Togo va bientôt se transformer en une tempête de la Libération nationale. Gloire à Dieu car cette année signera un nouveau départ pour le peuple togolais », a tweeté Dr Kodjo.

Tout porte à croire que le candidat de la DMK n’a pas encore tourné la page de la présidentielle de février 2020.

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D’entrée, le premier responsable de cette force mixte anti-pandémique installée depuis avril 2020 par décret présidentiel, a déploré la lassitude des populations face à la pandémie.

« La force est là pour faire appliquer les mesures, mais nous ne jouons pas seulement le rôle de policier. Nous contribuons aussi à la sensibilisation. Et sur le terrain, nous avons constaté ces derniers temps un relâchement dans le respect des mesures barrières. Nous avons aussi constaté que les dispositifs de lave main installés par endroit ne fonctionnent plus.  Nous appelons à la responsabilité de chacun. C’est comme si les Togolais sont fatigués de la situation. C’est pour cela que nous les appelons à se remobiliser pour leur propre intérêt », a indiqué le commandant de la FOSAP.

Pour le Colonel Kodjo Amana, la seule manière de gagner cette lutte c’est de respecter scrupuleusement les mesures barrières. Il invite par ailleurs tous les Togolais à plus de responsabilité et à l’autodiscipline.

« Aujourd’hui la situation est critique. Le conseil scientifique a lancé un cri d’alarme pour appeler la population à se ressaisir. Pour notre part, nous nous sommes déjà engagés. Nous mobilisons nos forces pour que les mesures prises par le gouvernement soient respectées. Nous appelons la population autodiscipline pour faire reculer cette maladie», a-t-il lancé.

Rappelons que la FOSAP, composée de 5000 hommes, a été mise en place en vue de faire respecter les dispositions prises par l’Autorité publique, en riposte à la Covid-19.

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D’entrée de jeu, le Conseil Scientifique a indiqué que les doses de vaccins anti-covid-19 seront bientôt disponibles au Togo. Et les premiers à se faire vacciner seront le personnel soignant. « L’objectif c’est d’arriver à vacciner la 60% de la population. Une fois ce but atteint, nous pourront avoir une immunité collective. Ce qui va rompre la chaîne de contamination », a souligné Prof. Ihou Watéba, membre dudit Conseil.

A en croire Diallo Fatoumata Binta Tidiane, Représentante résidente de l’OMS au Togo, déjà avec l’Union Africaine, il y a plus 200 millions de doses qui sont déjà garanties pour la région africaine. « Dans les semaines à venir, nous pouvons certifier que tous les pays qui sont prêts à accueillir les 25% des vaccins vont les recevoir. Tous les vaccins qui seront mis à disposition par l’OMS homologuée seront des vaccins sûrs. Aussi, chaque pays a une réglementation et aucun vaccin ne rentrera dans un pays sans qu’il y ait l’application de cette réglementation. Avant que le vaccin ne soit administré, il y a un contrôle de qualité qui doit être fait », a-t-elle laissé entendre.

Sur la polémique autour des vaccins, le Conseil Scientifique rassure. Selon Prof. Ihou Majesté Watéba, les Togolais n’ont pas de souci à se faire quant à la qualité des vaccins qui leur seront administrés.

« Ce n’est pas la première fois que les populations se feront vacciner. Les vaccins contre la covid-19 font partie d’une série de connaissances. Il n’y a aucune raison d’avoir peur. C’est un médicament comme les autres. Ce n’est pas un poison. Il peut y avoir des petits effets secondaires, mais ces effets secondaires sont toujours moindres par rapport aux grands avantages que cela donne. Le Conseil scientifique est composé des gens qui connaissent leurs matières, et qui savent de quoi ils parlent. Le Togo est un pays très organisé et nous ne pouvons pas nous permettre de commander des vaccins qui vont tuer les populations togolaises. Une chose qu’on devait savoir, nous-mêmes nous serons vaccinés, nos familles seront vaccinées. Est-ce que nous allons cautionner un vaccin qui va nous tuer nous-mêmes et nos familles ? Je crois qu’il y a suffisamment de raisons assez sûres que nous apportons en tant que responsables pour inviter les populations à prendre ces vaccins », a rassuré Prof. Ihou Watéba.

Et à Prof. Didier Ekouévi président du Conseil Scientifique d’ajouter: « Si vous êtes vaccinés, vous êtes protégés contre la forme grave de la pandémie ».

Pour rappel, le Conseil scientifique est un organe créé en juin 2020 par décret présidentiel afin de participer à la riposte contre la pandémie. Il a pour mission d’analyser la situation de la Covid-19 au Togo, de donner des avis périodiques en fonction de l’évolution des connaissances scientifiques sur la maladie et d’éclairer les décideurs sur les orientations à prendre pour une riposte plus efficace.

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Les questions d’intérêt commun liées à la coopération bilatérale et à la collaboration entre la France et le Togo sur des sujets régionaux et multilatéraux étaient au centre des discussions entre les deux ministres.

Sur le plan bilatéral, les deux personnalités se sont réjouies de l’excellente qualité des relations historiques d’amitié et de coopération qui unissent la France et le Togo et ont réaffirmé leur disponibilité à continuer par collaborer étroitement pour leur affermissement et leur diversification.

Le Ministre Dussey a exprimé les remerciements du Gouvernement togolais pour les soutiens multiformes que la France lui apporte notamment dans les domaines de la gouvernance universitaire et la réforme de l’enseignement supérieur, du renforcement des capacités des acteurs de la société civile, en l’occurrence, sur les questions du genre et de développement durable… Il a souligné la particularité du soutien français qui est ciblé et parfaitement en phase avec les priorités du plan de développement adopté par le Gouvernement togolais.

Il a saisi l’occasion pour évoquer l’impact de la crise de la Covid-19 sur la mise en œuvre du Plan National de Développement (PND), ce qui a rendu nécessaire son actualisation à travers l’adoption d’une feuille de route gouvernementale 2020-2025 dont la réalisation demande l’accompagnement de tous les partenaires au rang desquels la France figure en première place.

Parlant des questions d’ordre régional, les deux Ministres, tout en se réjouissant  du bon déroulement des processus électoraux dans plusieurs pays ouest-africains, ont tout de même exprimé leurs préoccupations quant à la persistance du terrorisme et de l’insécurité en Afrique de l’Ouest.

A cet égard, le Chef de la diplomatie française a félicité le chef de l’État togolais Faure Gnassingbé pour son engagement et ses actions pour la paix et la sécurité dans la sous-région ouest-africaine. Il a insisté sur la nécessité d’une coordination de toutes les initiatives pour plus d’efficacité.

Concernant les questions d’ordre multilatéral, les deux Ministres ont réaffirmé leur commune volonté de soutenir le multilatéralisme et la lutte contre le réchauffement climatique.

Ils ont réitéré leur engagement à renforcer leur collaboration dans les enceintes   internationales, en coordonnant leurs prises de positions, non seulement pour une meilleure défense de leurs intérêts communs, mais aussi pour la préservation de la paix et de la sécurité internationales.

Par ailleurs, le ministre Jean-Yves Le Drian a félicité son homologue Robert Dussey pour le leadership dont il a fait preuve dans la conduite des négociations de l’Accord OEACP-UE post-Cotonou qui viennent d’être conclus.

Au terme de son séjour, le Chef de la diplomatie togolaise a exprimé à son homologue français ses vifs remerciements et sa gratitude pour la qualité de l’accueil qui lui a été réservé ainsi qu’à sa délégation.

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C’est sa toute première sortie depuis sa mise en place par décret présidentiel en début de l’année 2020. Hier devant la presse, ce Conseil Scientifique constitué d’imminents experts du pays, a voulu clarifier la situation sur l’évolution de la pandémie au Togo, et les prochaines doses de vaccin que le pays s’apprête à s’offrir.

Le conseil présidé par Prof. Didier Ekouévi, a présenté la courbe épidémique de la covid-19 au Togo. Il ressort que durant ces huit (8) dernières semaines, le pays a enregistré le plus grand record de contaminations au coronavirus. Plus 1200 cas depuis le 1^er janvier 2021.

« La situation est alarmante et inquiétante avec une flambée du nombre de nouveaux cas depuis le 01 janvier 2021. La situation est préoccupante dans trois (3) régions depuis janvier. Grand Lomé avec 62% de nouvelles contaminations, plus de 650 cas en trois (3) semaines. Région des Savanes a enregistré de mars à décembre 2020, 136 cas. Mais depuis le 01 janvier 2021, la région rafle les 25% de nouveaux cas. 266 cas enregistrés. Soit une augmentation de 95% des cas. La région de Kara, elle aussi, a enregistré 70 cas en trois semaines », a fait savoir Prof. Didier Ekouévi.

Les causes de cette flambée

Ces experts togolais imputent cette flambée des cas de contamination à plusieurs facteurs. Selon Prof. Anoumou Dagnra, également membre du conseil, cette augmentation des cas ces dernières semaines sur l’ensemble du pays est due au scepticisme, à la lassitude et au relâchement des Togolais face aux mesure barrières. L’harmattan qui sévit actuellement au nord du pays serait également l’une des causes de cette flambée.

Appel au respect des mesures barrières

Face à cette situation de plus en plus inquiétante, le conseil relance la mobilisation. Il demande à tous les acteurs impliqués dans la lutte contre la propagation du virus de redoubler d’efforts dans le cadre de la sensibilisation autour du respect des mesures barrières.

« Les mesures barrières restent à ce jour les mesures les efficaces pour prévenir la transmission contre la covid19, notamment le lavage des mains, le port de masque, distanciation physique et social. Mêmes ceux qui ont été infectés et guéris du virus doivent continuer par se protéger. Il y a de nouvelles variantes du virus. Même ceux qui seront vaccinés doivent respecter les mesures barrières », ajouté Prof. Ekouévi.

Justement sur la question des doses de vaccin que le pays s’apprête à recevoir, le conseil rassure. Il précise que les vaccins seront disponibles bientôt au Togo. « Nous allons tous nous faire vacciner…. Si nous nous vaccinons c’est que c’est bon, le Togo n’amènera jamais un vaccin qui sera nuisible pour la population », a rassuré Prof Magesté Ihou Watéba, chargé de l’unité requise pour le soin aux personnes atteintes de Covid-19 au Togo.

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Ils sont au total 20 jeunes togolais à postuler pour cette formation professionnelle qui a duré 18 mois. La cérémonie de remise officielle de leur diplôme de fin de formation a été présidée hier par le Premier ministre, Mme Victoire Tomegah-Dogbé.

Ces jeunes récipiendaires sont désormais disposés de compétences avérées en leadership, communication et gestion de projet pour apporter leur plus-value à l’administration en vue de l’implémentation des projets structurants du PND. Ainsi, le programme a également permis aux étudiants d’être pluridisciplinaires et de développer d’autres compétences en résolution de problèmes, pensée analytique, esprit critique, collecte de données primaires.

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L’encadrement a été assuré par SHARE, un organisme international spécialisé dans la formation de nouvelles générations de talents, après une sélection rigoureuse parmi 800 candidats étudiants les plus méritants en Master 1 dans les Universités de Lomé et Kara et de l‘Université catholique de l’Afrique de l’ouest (UCAO).

La formation est dispensée parallèlement à leur cursus universitaire avec l’appui des partenaires notamment le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et Ecobank Transnational Incorporated (ETI).

Dans son mot de circonstance, Madame le Premier ministre a exhorté les récipiendaires à faire montre des valeurs à savoir le patriotisme, l’entrepreneuriat et les compétences qu’ils ont acquises au cours de leur formation.

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L’annonce a été faite mercredi 27 janvier 2021 par Antoine Lékpa Gbégbéni, ministre en charge de l’Élevage et également président du comité national de la transhumance. L’autorité n’a pas dévoilé les raisons de ce report.

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Précisons que la campagne 2020 a été très meurtrière. Elle a occasionné 12 morts et 130 dévastations de champs.   Pour réparer les préjudices, une enveloppe de 9.6 millions de FCFA a été versée aux victimes.

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