Pour le compte de cette nouvelle édition, des innovations ont été apportées. Peuvent désormais rivaliser à cette compétition, tout bachelier togolais dont l’âge est compris entre 18 et 26 ans. De plus, le concours est porté dans d’autres communes situées à l’intérieur du pays.

En tout, 12 communes ont été retenues sur toute l’étendue du territoire nationale. Ainsi, on note 7 communes de la préfecture du Golfe. A celles-ci viennent s’ajouter Agoè-Nyivé 1, Zio 1, Ogou 1, Tchaoudjo 1 et Koza 1.

Selon les promoteurs du concours, 140 candidats sont en lice. L’association Jeunesse unie pour une nouvelle Afrique (JUNAF-Togo), se veut porteur de l’initiative. Pour son promoteur et délégué général, Frederick Tsatsu, la question de la décentralisation est essentielle.

« JVF 2021 a pour but de mettre à l’honneur des talents de différentes communes du Togo », a-t-il indiqué. Et de poursuivre : « Ceci entend permettre un cadre d’échange sur la question de décentralisation ».  

Notons que du 19 au 23 janviers 2021, les candidats à Lomé ont été castés. En ce qui concerne l’intérieur du pays, les compétiteurs seront soumis au casting du 2 au 5 février 2021. Ainsi, tous ces candidats suivront une formation en art oratoire.  

Ces derniers auront à débattre, plaider et pitcher des projets concrets. Des projets qu’ils vont réaliser dans leurs communes. Aussi, le jury se chargera d’identifier la meilleure proposition de projet. En conséquence, celui-ci sera formalisé, structuré et budgétisé et présenté lors de la finale à Lomé.

Notons que la phase des préliminaires est prévue à l’Institut Français du Togo, les 06, 12 et 20 février 2021. Celle de l’intérieure se déroulera dans la commune de l’Ogou 1. Et ce, les 26 et 27 février 2021.

Quant à la demi-finale, elle se déroulera en ligne le 27 mars 2021 tandis que la finale aura lieu le 27 avril 2021 à l’Institut Français du Togo.

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152 000 grossesses non désirées, 54 000 avortements provoqués et 400 décès maternels évités entre 2010 et 2020, si l’on en croit les chiffres annoncés par le bureau du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) au Togo.

Ce résultat est réalisé grâce aux Fonds Français Muskoka qui soutiennent le Togo dans plusieurs domaines : réduction des violences basées sur le genre, la mortalité maternelle, néonatale et infantile. Des institutions étatiques comme le Ministère en charge de la Santé, etc., mais aussi des agences des Nations unies à savoir OMS, UNFPA, ONU Femmes et UNICEF impliquées dans la mise en œuvre du programme ont également contribué à cette avancée.

Crée en juin 2010 à la suite du sommet du G8 qui s’était déroulé à Muskoka (Canada), le Fonds Français Muskoka contribue à la réduction de la mortalité maternelle, néonatale, infantile et post-infantile, par le renforcement des systèmes de santé nationaux.

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De la tranche d’âge entre 6 et 85 ans, ces nouveaux cas confirmés (25 hommes et 28 femmes) sont détectés sur 943 personnes ayant subi le test vendredi, selon le site officiel d’information du gouvernement. Au total, 204 937 tests virologiques sont effectués depuis l’arrivée de la maladie sur le sol togolais.

Toujours selon les données des dernières 24 heures, 55 guéris sont signalés vendredi. Ce qui porte le total de patients guéris de Covid-19, au Togo, à 4 177.

Le nombre de cas actifs est passé ce vendredi à 722. Une légère baisse par rapport au chiffre de la veille où on dénombrait 724 cas actifs. Alors que le nombre de décès reste inchangé à 76.

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