For several weeks, religious groups and leaders in the Christian-dominated country have been campaigning for the authorities to close the center.

Meanwhile, Ghanaians on social media criticized the silence of President Akufo-Addo after the opening of this center in January by Rights Ghana with the support of foreigners (white).

The owner of the building that housed the center, Asenso Gyambi, told reporters he did not know his house was rented by the group.

These incidents come a few weeks after the first reaction of the American President, Joe Biden on the management of these practices by the other countries of the world.

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M. Trump était connue pour sa politique sévère contre les immigrants et les demandeurs d’asile, l’une de ses nombreuses promesses électorales.

Au début de la pandémie de Coronavirus, il a endurci cette politique, affirmant que sa décision était de protéger la population américaine.

Cependant, M. Biden, immédiatement après son investiture mercredi, a publié un certain nombre de décrets annulant certains projets et décisions de son prédécesseur.
Le nouveau locataire de la Maison Blanche a pour sa part annulé l’interdiction d’entrée des citoyens de plus d’une douzaine de pays, dont le Nigéria, l’Érythrée, le Yémen et le Soudan.

« Il n’y a pas de temps à perdre. Ce ne sont que des points de départ », a-t-il lâché avant de signer les 17 décrets exécutifs.
 

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« Nous souhaitons pouvoir, avec l’arrivée de la nouvelle administration américaine, obtenir l’assurance que ces moyens soient prolongés, et pourquoi pas renforcés », a déclaré Florence Parly, la ministre français des Armées.

Visiblement, Paris souhaite un engagement croissant des États-Unis d’Amérique dans le maintien de la paix en Afrique comme au Moyen-Orient.

 Le président français Emmanuel Macron a affirmé mardi qu’il espère que l’arrivée du président Biden marquerait un « réengagement » des États-Unis au Moyen-Orient et « des décisions structurantes », avec « une prise de conscience de la nature de la lutte contre le terrorisme ».

Washington fournit à l’opération Barkhane de précieuses capacités de renseignement et de surveillance grâce à ses drones, du ravitaillement en vol et du transport logistique, pour un coût de 45 millions de dollars par an.

Malgré tout, la France qui a déployé plus de 5000 soldats pour cette opération, cherche à réduire sa présence, mais souhaite également le renforcement de l’engagement de ses alliés européens.

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