Le pr\u00e9sident congolais, actuel chef de l\u2019Union africaine, a rencontr\u00e9 samedi des responsables \u00e9gyptiens et soudanais dans le cadre des efforts internationaux et r\u00e9gionaux visant \u00e0 relancer les n\u00e9gociations sur le barrage de l\u2019\u00c9thiopie contest\u00e9 sur le principal affluent du Nil<\/em><\/strong>.

Felix Tshisekedi a \u00e9t\u00e9 re\u00e7u par le g\u00e9n\u00e9ral Abdel-Fattah Burhan, chef du conseil souverain de Susan, \u00e0 l\u2019a\u00e9roport de Khartoum.

Les deux dirigeants se sont ensuite rendus pour des entretiens au palais pr\u00e9sidentiel en pr\u00e9sence du Premier ministre soudanais Abdalla Hamdok.

La ministre des Affaires \u00e9trang\u00e8res, Mariam al-Mahdi, a d\u00e9clar\u00e9 que le pr\u00e9sident congolais avait propos\u00e9 une initiative pour sortir de l\u2019impasse sur le conflit du barrage. Elle a dit que les autorit\u00e9s soudanaises \u00e9tudieraient l’initiative, sans donner plus de d\u00e9tails.

Tshisekedi s’est ensuite envol\u00e9 pour le Caire o\u00f9 il a rencontr\u00e9 le pr\u00e9sident \u00e9gyptien Abdel-Fattah el-Sissi, a indiqu\u00e9 le bureau du dirigeant \u00e9gyptien.

Le dernier cycle de dialogue n\u00e9goci\u00e9es par l\u2019Union africaine dans la capitale congolaise, Kinshasa, en avril, n\u2019a pas permis de progresser sur la question.<\/p>\n\n\n\n