<\/strong><\/em>L’Organisation Mondiale de la Sant\u00e9 (OMS) annonce avoir envoy\u00e9 \u00e0 Conakry, la capitale de la Guin\u00e9e, plus de 11 000 vaccins contre le virus Ebola.
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“La cargaison a \u00e9t\u00e9 transport\u00e9e du S\u00e9n\u00e9gal par avion du gouvernement apr\u00e8s que le mauvais temps a provoqu\u00e9 une escale \u00e0 Dakar. Une vaccination en temps opportun sera cruciale pour freiner l’\u00e9pid\u00e9mie d’Ebola”, a tweet\u00e9 ce mardi la Direction R\u00e9gionale de l’OMS Afrique.

La directrice de l’OMS pour l’Afrique, Matshidiso Moeti a d\u00e9clar\u00e9 qu’une \u00e9quipe de vaccination a \u00e9t\u00e9 d\u00e9ploy\u00e9e \u00e0 N’Zerekore, la deuxi\u00e8me plus grande ville du pays, et est pr\u00eate \u00e0 d\u00e9buter bient\u00f4t les vaccinations.

La semaine derni\u00e8re, l’OMS a annonc\u00e9 que plus de 100 travailleurs devraient faire partie de l’\u00e9quipe de riposte \u00e0 Ebola en Guin\u00e9e d’ici la fin du mois de f\u00e9vrier.

Le pays a enregistr\u00e9 huit cas, cinq d\u00e9c\u00e8s et 380 contacts dont 98% sont surveill\u00e9s, selon l’agence de sant\u00e9 des Nations Unies.

Plus t\u00f4t ce mois-ci, les autorit\u00e9s de la RD Congo ont \u00e9galement annonc\u00e9 la r\u00e9apparition du virus Ebola, une fi\u00e8vre tropicale transmise \u00e0 l’homme par des animaux sauvages, dans la partie orientale du pays d’Afrique centrale, plus de deux mois apr\u00e8s la fin de la derni\u00e8re \u00e9pid\u00e9mie. <\/p>\n\n\n\n